Delphine Bachacou - danse
Christophe Cagnolari - saxophone
EPHEMERE #1
Hélène Beilvaire - danse
Louis Galliot - contrebasse
Qui danse ? Qui joue ? Qu’est-ce être musicien ? Qu’est-ce être danseur ?
Ne peut-on s’occuper que de ses affaires !?! Le danseur n’a-t-il que la responsabilité de l’espace visuel et le musicien de l’espace sonore ? Pourtant ils sont tous deux sur la même scène, partageant le même propos…
A partir d’improvisations, nous avons évolué vers la co-responsabilité du son et du visuel, allant vers un point de rencontre de ces deux médiums. Le travail d’écriture a été de dé-hiérarchiser les rapports musique-danse, de s’autoriser les excursions, se mettre en danger, d’effacer les frontières de nos arts.
Constance Dubuisson - danse
Benoît Martin - piano
L'autrement dit
La rencontre avec l'autre
L'autre, être qui suscite en nous tant d'émotion, de surprises, d'interrogations.
Etre différent
Etre étrange
Etre aimé
Etre semblable
Etre... Humain?!
Oui oui oui humain
La danse est l'un, la musique est l'autre
La musique est l'un, la danse est l'autre
Maud Marquet - danse
Jimi Sofo - didjer ridoo & tam tam d'appel
Sauvage
Le travail d’écriture, partant du mot « évolution », est basé à chaque séance sur la complicité, l’écoute et l’improvisation commune. En prenant le partie de faire un « duo » cela sous entend que les deux artistes travaillent, cherchent et composent simultanément.
Le travail met en scène et en mouvement les masses instrumentales et dansantes dans une sorte de cuisine où musique et corps ne font plus qu’un. Le rythme chorégraphique se traduit par un crescendo d’ordre « sauvage », où « TRANSEpire » les vibrations du didger ridoo et du tam tam d’appel.
Au final, La dynamique du duo souhaite emporter le public dans un voyage vibratoire et peux être inviter la danse chez vous.
Nawel Oulad - danse
Mélanie Badal violoncelle
dancelle 1: UDNIE
Nawel Oulad et Mélanie Badal se sont rencontrées très jeunes au sein du conservatoire. Très vite leur sensibilté artistique et leur complicitéles ont amenées à se retrouver autour de divers projets. Issues d'une double culture elles ont créé le spectacle Métiss Terre Damnée dans la grande salle de l'université de Nanterre. Elles ont également créé
Nous, hypermodernes au théâtre de verre du XVIII° inspiré de notre société actuelle. Aujourd'hui elles s'intéressent à l'improvisation corporelle et instrumentale, tout en s'appuyant sur une toile de Picabia, Udnie. Elles tenteront de l'animer à travers la musique et la danse.
Stéphanie Puéchavy - danse
Aurélie Gbizié-Plat - danse et accordéon
Entre 2
Entre deux voix.
Entre deux instants.
Là où rêves et réalités s'entrecroisent.
Là où forces et faiblesses s'encouragent.
Suffirait-il d'un souffle pour trouver son chemin?
Perdre pieds pour mieux se retrouver demain.
Entre deux histoires.
Entre deux soleils.
Toujours sur le fil.
Stabilité fragile. Equilibre instable.
Un simple "grain de sable, un je ne sais quoi".
Entre deux âges.
Entre deux voix.
L'accordéon de toute une vie.
Et cet éternel balancier d'un temps toujours plus éphémère.
Laure-Anne Segers - danse
Mélody Manceau - danse
musique : Orlando furioso - Act 0, Ov. 01. Sinfonia: Allegro (Concerto in Do maggiore) d'Antonio Vivaldi
Opéra pour un geste
Ni inspiré de la danse baroque ni de Bagouet, Opéra pour un geste mêle joie de vivre et bonne humeur sur l'introduction vibrante d'Orlando Furioso.
Jouant de l'une ou de l'autre, les deux danseuses évoluent dans un espace géométrique alliant la théâtralité du geste quotidien poussé parfois à la caricature.
En harmonie avec la partition musicale, l'ornementation baroque imprègne la gestuelle.
Furtif et virevoltant, Opéra pour un geste laisse finalement entrevoir un rêve, une esquisse...
Jouant de l'une ou de l'autre, les deux danseuses évoluent dans un espace géométrique alliant la théâtralité du geste quotidien poussé parfois à la caricature.
En harmonie avec la partition musicale, l'ornementation baroque imprègne la gestuelle.
Furtif et virevoltant, Opéra pour un geste laisse finalement entrevoir un rêve, une esquisse...
